PRÉSENTATION

LA VIE DU PADRE PIO
PADRE PIO, LA MESSE
CONFESSION ET TÉMOIGNAGES
LA NEUVAINE IRRÉSISTIBLE
CANONISATION
LES LIVRES SUR PADRE PIO
DATES DES PÈLERINAGES

LES CONFESSIONS
PRODIGES À SAN GIOVANNI
PARFUM DE ROSES
LA BILOCATION
LA RÉSURRECTION
PAROLES DE PADRE PIO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES CONFESSIONS AVEC PADRE PIO
"Ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le Ciel ; ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le Ciel", avait dit Jésus à Pierre. Cette loi, le Padre l'appliquait à l'avantage des âmes qui affluaient au confessionnal. Il avait le don de scruter les consciences, dévoiler les fautes oubliées. Devant les péchés, il ne pouvait que souffrir ; c'était le Christ qui souffrait en lui. Pour confesser si longtemps, il lui fallait une résistance étonnante qui lui venait d'En-Haut. Malgré une apparente faiblesse, il avait une bonne résistance à la fatigue. Il pouvait confesser pendant 15 à 16 heures d'affilée sans manger.
Il fallait un bon service d'ordre pour canaliser la gent féminine surtout. Un relâchement aurait amené la cohue.

Des témoignages
"Miracle ! Mon mari s'est confessé !" dit une dame italienne.
«J'avais peur, il ne voulait pas venir. Je lui ai demandé un cadeau pour ma fête : aller à San Giovanni Rotondo. Colère. Voyage pénible... "Ne me demande pas de me confesser." avait-il exigé. Après la messe, je vois mon homme qui suit le Padre à la sacristie. Je prie. Il revient avec une drôle de figure. Il s'agenouille. "C'est fait. Je me suis confessé. Quelle grâce !» "Que voulez-vous, après une telle Messe, je ne pouvais pas ne pas me confesser. Ce fut plus fort que moi." Il se sentait poussé. En ce lieu, tout est dirigé par une main invisible."

Un négociant de Gênes arrive après cinquante-deux heures de voyage. Il est porteur d'une lettre pour le Padre. Celui-ci le dévisage. "Depuis quand ne t'es-tu pas confessé ?"
- Depuis l'âge de sept ans.
- Quand cesseras-tu de mener cette vie abominable ?
Il se sent démasqué. Padre Pio le confesse. Il savoure sa joie. "Moi, un athée, je n'ose analyser la lumière foudroyante qui illumina mon esprit."

Une Anglaise s'agenouilla au confessionnal. Padre Pio, violemment : "Pour vous, je n'ai pas le temps."
Effondrée, cinq jours après, elle revint à la charge pour essuyer la même réponse.
Au bout de vingt jours, il accepte. "Pauvre aveugle, au lieu de te plaindre de ma sévérité, tu devrais te demander comment la Miséricorde peut t'accueillir après tant d'années de sacrilèges ? Qui commet un sacrilège mange sa propre condamnation. Pour maintenir des apparences de respectabilité, n'as-tu pas communié pendant des années, à côté de ta mère et de ton mari, en état de péché mortel ?"
Et ce fut le grand retour. Padre Pio savait que cette femme resterait à San Giovanni et qu’il lui fallait tout ce temps pour avoir une contrition de ses fautes. Des hommes et des femmes ont été vus errant en pleurs dans le village en attendant d'être admis à nouveau au confessionnal. Mais pendant ce temps, le Père ne les quittait pas des yeux. Pour eux, il s'immolait. Il guérissait...

Confesser était pour le Padre sa fonction privilégiée. A quelqu'un qui le questionnait un jour sur sa mission sur terre, il répondit par un mot: "Je suis un confesseur."
Dieu lui avait fait don de lire dans les âmes. C'est une des principales raisons qui lui amenèrent tant de pécheurs. Avouer certaines fautes devient insupportable ; mais grand est le soulagement, lorsque c'est un autre qui vous les dévoile.
Pour obtenir certains repentirs, il offrait ses souffrances comme prix à payer.
Oh ! les âmes, si l'on savait le prix qu'elles coûtent ! Souvent on l'a vu pleurer. Certaines confessions étaient pour lui un vrai combat.
Parfois il interpellait quelqu'un qui hésitait à se confesser.
"Padre, j'ai trop péché, je n'ai plus d'espoir !"
- Mon fils, Dieu poursuit les âmes les plus obstinées." Tel autre, venu en curieux, était harponné, et se retrouvait au confessionnal.
Et les pèlerins repartaient réconciliés.
Si on lui demandait qui il était :
- Au milieu de vous je suis le frère, à l'autel je suis la victime, au confessionnal, le juge.

Benoît XV a dit : "Le Padre Pio est un signe des temps." Ce prêtre, à qui Dieu avait donné le redoutable pouvoir de scruter les consciences, rendait la vie aux âmes mortes, en s'offrant lui-même en victime.
Et tout le monde le chargeait de fardeaux.
Il souffrait pour le péché. Le péché ne pouvant se définir que par rapport à Dieu : ayant perdu le sens de Dieu, l'homme a perdu le sens du péché.
Le Padre était là pour faire tomber sur le pécheur les Paroles du Pardon.
L'apôtre-martyr du confessionnal est allé à son confessionnal jusqu'au dernier jour, même si à la fin de sa vie il s'y rendait en chaise roulante.
Le Padre était le redresseur qui indique la route à suivre par de judicieux conseils. Pour ce faire, il pénétrait véritablement jusqu'au fond des âmes.

"Signe des Temps" Le Padre cherchait constamment à rendre crédible L'Evangile dans l'évolution "bringuebalante" des sociétés humaines ; il renvoyait à la parole de Paul : "Les Juifs demandent des miracles ; les Grecs re-cherchent une sagesse ; mais nous, nous prêchons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les païens."

Cesare Festa était le cousin du médecin du Padre Pio, le Docteur Georges Festa. Ce dernier mit au défi Cesare, lui disant que, s'il allait voir Padre Pio, il aurait la preuve du surnaturel qu'il niait.
L'avocat finit par se décider à venir à San Giovanni. Il voulait ainsi montrer la justesse de ses convictions à son frère.
"Comment vous, ici ? Mais vous êtes franc-maçon." Après ce préambule un peu dur où l'homme se sent dévoilé, le Padre se radoucit et le prend par la main. Sensiblement, l'autre se sent vaincu ; se confesse et se sent revivre.

Le Docteur Saltamerenda, athée, poussé par la curiosité, voulut voir le Padre.
L’apercevant dans la foule, celui-ci l'interpelle : "Génois, Génois, tu es près de la mer et tu ne sais pas te laver !" Frappé de plein fouet, comprenant qu'il s'agissait de laver son âme, et ahuri, il voulut se confesser, mais le Padre le repoussa. Errant dans la campagne et humilié, il fut entouré d'un parfum de violettes. Rencontrant un Frère, celui-ci le conduit à la cellule de Padre Pio où il retrouve le même parfum. L'accueillant cette fois avec bienveillance, le Padre le confesse en lui énumérant tous ses péchés depuis son enfance.
Comment un homme peut-il lire dans le secret des cœurs, dévoiler, mettre à nu les pensées les plus profondes, projeter devant les yeux les méfaits les plus éloignés, dont on ne se souvient même plus ? N'y a-t-il pas là quelque chose au-dessus de la nature, de surnaturel ?

Frédéric Abresch avait passé du protestantisme au catholicisme, non par conviction, mais par convenance sociale. Poussé par sa femme, qui était une fidèle de Padre Pio, il se rendit à San Giovanni Rotondo. Il resta indifférent jusqu'à sa confession. Ayant déclaré au Père qu'il ne croyait pas à son caractère surnaturel, celui-ci s' écria : "Mais, c'est une hérésie." Puis il projeta toute sa vie antérieure, concluant par : "Vous avez chanté un hymne à Satan !" Cette vision si claire fit basculer l'homme dans un repentir réel. Si bien que sorti du confessionnal, il est entré dans une nouvelle jeunesse.

A Bologne, il y avait une femme, nommée Naïr, militante au parti communiste. Après une longue route dans cette voie, elle s'aperçut que ce parti n'apportait pas une solution à l'idéal qu'elle s'était fixé : la justice. C'est alors qu'elle vit en songe le Padre Pio qui se tenait près d'une maison où règnait la terreur. Frappée par ce songe, elle décida d'interroger Padre Pio. Elle se confessa et eut l'illumination que le sens de la justice ne pouvait avoir sa réalisation que dans la voie chrétienne et elle se convertit.

PRODIGES A SAN GIOVANNI
Dans le couvent de San Giovanni Rotondo survenaient d'extraordinaires prodiges.
Le Padre ramenait chaque jour dix, cent âmes au Seigneur. Les miracles abondaient.

La petite Gemma De Giorgi, atteinte de cécité, est amenée par la grand-mère à San Giovanni Rotondo à la messe du Padre Pio. Quand elle fut devant le Padre, la vieille femme expliqua son cas. Le prêtre lui caressa les yeux, fit un signe de croix sur son front, leva les yeux au Ciel, puis dit à la grand-mère : "Aie confiance, ma fille, la fillette ne doit pas pleurer et toi non plus, ne te fais pas de souci. Gemma voit."
En effet, instantanément, elle vit et l'oculiste, stupéfait, ne put que constater que l’impossible : Gemma voyait.
Padre Pio avait accompli le miracle le plus étonnant : une enfant née sans pupilles, aveugle de naissance, voyait soudain.

Maria Laigueglia raconte qu’à quatre ans elle était très malade; elle luttait contre la mort ; il ne lui restait que peu de jours à vivre. Graves troubles du foie et de la rate. Ventre gonflé, lèvres gonflées. Délire.
Diagnostic : hépatocolangiolite. Corps déformé, horrible. Une Sœur de l'hôpital a l'idée de demander l'aide de Padre Pio. Une image du Père est placée sous son oreiller. Une lettre est expédiée à Pietrelcina. On demande l'aide du Père. Deux jours passent. Soudain dans la pièce un parfum de roses. La petite cesse de gémir. Sa mère croit qu'elle est morte et pleure. La respiration est régulière. Elle crie qu'elle a faim. "Inexplicablement guérie", disent les médecins ahuris. Ce n'est pas une hallucination, dit la mère, qui prend l'image sous l'oreiller et la baise. Elle montre l'image à la petite. "Qui est ce Frère, maman ?" "Cette nuit, j'ai rêvé d'un Frère qui ressemblait tellement à celui-ci.»
- C'est Padre Pio, c'est lui qui t'a guérie.
Deux heures plus tard arrivait un télégramme de Pietrelcina : "Padre Pio vous assure de ses prières et vous bénit."

Depuis l'âge de 12 ans, Rosetta Polo Riva est atteinte d'endocardite. Les médecins ne peuvent rien. Une amie vient la voir. "As-tu écrit à Padre Pio ?" Elle envoie une lettre à Padre Pio. Deux semaines plus tard, fait extraordinaire : la fenêtre de la chambre était ouverte; entre un petit nuage blanc. Elle eut peur, entendit une voix : «Tu ne dois pas avoir peur.»
- Qui êtes vous ?
«Je suis Padre Pio, Rosetta, tu auras la grâce de la Vierge de la Garde».
- Quand, Padre ?
«Le 28 Août.»
Le petit nuage blanc disparut. Le 28 Août arriva, je me sentis bien. Deux semaines après, j’étais complètement guérie.

Maria Rosario était atteinte d’un adéno-carcinome à l’utérus. L’opération tentée ne réussit pas. Ayant entendu parler de tout le bien réalisé par le Padre Pio, sa fille Rita demanda son intercession. Cependant, sa mère était à toute extrémité. Soudain, Maria Rosano sentit un parfum dans sa chambre. Pensant que sa fille avait répandu de l'eau de Cologne, elle la gronda. Celle-ci soutint qu'elle n'avait absolument rien fait et pensa que sa mère délirait. Ce parfum persista deux jours. Rita pensa alors que Padre Pio ne devait pas être étranger à ce curieux phénomène. Effectivement, le troisième jour les souffrances de la mère disparurent et les docteurs stupéfaits constataient la disparition du cancer.

Savinio Greco, fervent communiste, était atteint d'une tumeur au cerveau. On voulut tenter une opération. La nuit, il rêva que le Padre Pio lui promettait la guérison. Au matin, se sentant guéri, il voulut quitter l'hôpital; mais les médecins voulaient l'opérer.
Alors, Savinio s'enfuit de l'hôpital mais fut rattrapé. Après un deuxième examen, les docteurs furent obligés de constater qu'il n'y avait plus de trace du mal.
Rentré chez lui, Savinio se rendit à Rotondo pour remercier le Padre et lui annoncer qu'il cessait ses activités communistes. Il était complètement guéri.

PARFUM DE ROSES
Giuseppina Marchetti souffre d'une mauvaise fracture du bras droit. Le chirurgien déclare que la jeune fille ne pourra jamais retrouver l'usage de son bras.
Avec son père elle va trouver Padre Pio qui lui prédit la guérison. Rien ne se produit : le Padre s'est peut-être trompé ? Mais, en la fête des stigmates de saint François, pendant 15 minutes la maison est envahie par un parfum de roses et de jonquilles : signe de la présence mystérieuse du Padre. Et subitement le bras guérit.

Luigi Antonelli avait un cancer entre l'oreille et l'épaule. Il devait se faire opérer, quand un ami lui conseilla d'aller à Rotondo.
Il entra dans l'église, assista à la messe et se confessa au Padre. Pendant la confession il sentit soudain un courant circuler dans son corps et constata que le cancer avait disparu.

Une femme de San Giovanni est anxieuse, car son mari est très malade. Elle se précipite au couvent pour conjurer Padre Pio de le guérir.
Mais l'affluence est telle qu'elle ne peut l'approcher. Impossible de le saisir : ni avant, ni après sa Messe, ni à la sacristie, ni au confessionnal. Que faire ? Elle va prier mentalement, intensément, si bien que, lorsqu'elle peut enfin l'aborder, le Père lui jette : "Quand finiras-tu de m'importuner à droite, à gauche, devant, derrière. Je ne suis pas sourd. Rentre chez toi, tout va bien."
Arrivée chez elle, elle trouve son mari complètement guéri.

Le Père Placido, gravement malade, affecté d'une grave cirrhose, était hospitalisé à San Severo. Une nuit